(c) Cha'

You ... Identity Card "Because you are you & I want to know who you are ..." Age : 200 ans Date de naissance : 15 Septembre 1811 Race : Vampire Pouvoir : En se consentrant, elle peut introduire une pensée, une idée dans l'esprit d'une personne afin qu'elle aggisse en acte ou en mot sans savoir que l'indivu ne sache que c'est la demoiselle qui a pénétré leurs esprits. Orientation sexuelle : : BHétérosexuelle Classe/Matière enseignée : Première Aperçu du caractère : Hautaine, froide, dur, difficile à cerner, déteste lorsqu'elle laisse paraître sur son visage des expressions sentimentales

(10 lignes minimum) Décrivez nous le physique de votre personnage.
Commençons par détailler directement le visage de cette demoiselle voulez-vous? Premièrement, Colleen porte avec une aisance non-feinte une chevelure brune qui glisse en cascade sur ses épaules. Rarement, mais cela arrive, que quelques mèches soit stylisé par la demoiselle pour gracieusement tomber devant son front mais oh combien jamais devant ses yeux et bien sûr, tout cela n'est pas dû simplement au hasard. La jeune Bowen s'amuse de temps à autres avec son regard passant du rouge écarlate, par un marron chocolat gourmand ou un vert émeraude captivant avec des lentilles de contact variés. Personne n'a jamais décelé la vrai teinte de ses iris, ce qui à le don de faire sourire femme. Le tout souligné d'un fort trait de Khôl noir et d'une touche de mascara pour attirer le regard des autres. Aussi, de façon symétriques, deux pommettes bombées se glisse avec noblesse de part et d'autre de son nez légèrement retroussé, percés de narines mutines. La minceur de son visage forme un creux sur deux joues. Pour finir, ses lèvres roses et pleines, donnerait, tel un fruit juteux, envie à n'importe quel homme touché par son charme de les embrasser. Son visage n'a pas de forme bien singulière et je ne peux donc pas la définir, mais vous pouvez l'admirez vous même, je ne vais tout de même pas vous faire une dessin?
Au fil des années, Colleen s'est créé un certain style vestimentaire qui lui sait à ravir, mettant en valeurs chacune de ces formes, aussi bien au niveau de la poitrine qu'au niveau des hanches. Dans la globalité, la demoiselle garde la tête haute dû à une certaine confiance en elle dû à son passée et à près de deux siècles d'âge. Elle peut paraître, non, elle paraît aux yeux de tous, une femme hautaine et froide qu'il ne faut surtout pas approcher sous peines de décéder dans d'atroces souffrances physique et mentale. Peut-être à t-elle seulement besoin de compagnie ... Non. Elle n'a besoin de personne pour faire sa vie. Après la solitude, elle connaît, du moins, elle s'en persuade. Elle essaie ...



(15 lignes minimum) Décrivez nous en détail le caractère de votre personnage.
Vous imaginez bien qu'au bout de deux siècle de vie la jeune, et oui tout est relatif, Bowen s'est forgé un caractère en béton armé qui ne la quitte jamais. Logique me direz vous et bien non. Certain son jaune un jour et d'autre fois rouge, ou encore noir. Mais je m'égare. Comme nous devons ici, vous raconter son caractère, je vais tout d'abord vous conter ses qualitées histoire de ne pas vous dégouter dès à présent du personnage qu'elle aime paraître. Colleen est une demoiselle loyale. Ne vous m'éprenez pas! Ce n'est pas parce qu'elle fait bande appart et qu'elle semble hautaine, qu'elle n'a pas d'amis même si elle peut les compter sur les doigts de la main. Jamais elle n'ira faire de coup bas à ses proches, sachant qu'elle les défends contre quiconque leur voudrais du mal. Colleen est une vampire, elle ne le leur à jamais mentit sur ce point, et c'est aussi pour cette raison qu'ils avaient confiance en elle et vice versa. La demoiselle était, il fut un temps, une personne singulièrement attentive et à l'écoute auprès des autres autant dans leur joie que dans leur peine jusqu'à elle même s'oublier .. Mademoiselle Bowen est de nature touchante, voir généreuse. Un exemple peut-être? Et bien si elle décide d'accabler d'ignominies une personne, elle fera partager sa rage aux autres gens alentours pour ne pas que la personne en question souffre seule. Généreuse n'est-il pas? Pour certain cela peut être un défaut comme une qualité, Colleen est plutôt du genre impulsive, à réfléchir à ses actes après les avoir exécutés plutôt que le contraire. Mais ne vous attendez pas à avoir des excuses de la demoiselle, jamais en deux cents ans d'âge elle ne la fait, même pas à l'âge de 8 ans lorsqu'elle avait volontairement écrasé une orange sur la tête de son cousin qui lui avait tâché sa jolie robe avec du chocolat ... Bien vous l'aurez rapidement compris, vu qu'à priori à chaque fois je dérape sur ses défauts, Colleen à aussi un fort caractère qui lui donne quelque défauts incontournable comme le fait qu'elle soit têtue. Jamais elle n'avouera avoir tord, ou plutôt jamais elle n'avouera fausse des choses dont elle essaie de se persuader même si elle les saient corrompus. La jalousie de cette vampire n'a pas de limite et s'applique au quotidien pour quoi que ce soit! Autant sur un plan physique << Cette gamine est laide >> alors que la jeune femme en question est tout simplement plus belle qu'elle, ou encore << Elle va devenir obèse avec tout ce qu'elle ingurgite! >> alors que Colleen lorgne tout bonnement sur l'immense part de gâteau qu'elle va se refuser de déguster pour sa ligne ... Sur un plan sentimentale! Elle a en horreur ces personnes, vous savez, celles qui se s'embrassent et se tiennent la main les yeux en coeur? Bien, c'est de ces gens là qu'elle parle! A mon humble avis et s'en m'avancer, le problème est sans doute qu'elle a déjà trop souffert dans le passé sentimentalement mais sont idiot ceux qui croivent qu'elle avouera avoir eut un traumatisme amoureux, je vous l'ai dit, elle ne revèle rien d'elle! Ce qui est dommage car elle passe pour une snoobinarde, sans coeur, qui se tient à l'écart de tout le monde mais si seulement il savait, toutes les personnes qui la rejette s'entend, qu' elle a perdu ceux qu'elle avait de plus cher à son coeur.











Parce que votre personnage à bien des parents ...
Pour ce qui est de la famille proche de Colleen, comptant seulement des individus mortels, elle se constitut d'un père aimant, Martins Bowen, sombrant à petit feu dans la déprime dû au mystérieux assasinat de sa femme, Meredith Bowen, finissant par en mourir à son tour. Colleen avait aussi une soeur jumelle décédée à la naissance, Chelsea Bowen, et c'est aussi pour cela que la demoiselle à fait le choix de faire rajouter le prénom de sa jumelle en deuxième prénom comme une sorte d'hommage à cette dernière. Et pour finir, elle possedait aussi un grand frère sur-protecteur mort de vieillesse, Declan Bowen. La demoiselle Bowen est donc orpheline à l'heure d'aujourd'hui mais ne le vit pas plus mal.


(20 lignes minimum) Racontez-nous donc sa vie.

Partie 1 : Une Grossesse Multiple.
Dans les années 1800, alors que la puissance britannique émerge comme une grande puissance dans le monde entier, mais singulièrement en Europe, de nombreuses naissance ont lieu dans de situations précaires très peu réglementée et prise en charge par les hôpitaux malgré les avances dans le domaine. C'est pourtant lors du début de ce siècle que tombe enceinte la récement nommée Madame Bowen, Meredith de son prénom, pour le plus grand bonheur de son mari Martins Bowen et de son aîné Declan. Une grossesse se déroulant parfaitement, les deux adultes n'attendaient plus qu'avec impatience le merveilleux évênement qui les rendraient très prochainement parents à nouveau. Alors que le temps d'Automne n'allait pas tarder à poindre le bout de son museau, Madame Bowen fut prise de nombreuses contractions irrégulières de plus en plus rapprochées les unes des autres. N'ayant pas le temps d'appeler une personne qualifiée pour ce boulot, Monsieur Bowen aida sa femme , dans ce qui allait devenir le plus beau jour de leurs vie, à accoucher. Après plusieurs quarts d'heure de travail, un premier bébé inanimé sortit son visage ainsi que son corps à la lumière du soleil, au plus grand désarroie du père qui comprit rapidement son décès et qui en fut directement attristé. N'ayant pour autre choix que de la déposer dans un linge sur une table appart, Monsieur Bowen retourna à la tâche comprenant que lui et sa femme avaient peut-être encore une chance finalement de devenir parent à nouveau. C'est alors que dans les larmes et les cris d'une petite fille tout juste née aux aurores, un sourire s'épanouit faiblement sur le visage triste et fatigué d'un père aimant tel que Martins. Lui administrant rapidement quelques bases d'hygiène, Martins déposa auprès de sa femme, un bébé en pleine santé. Alors que Meredith se blotissait fortement contre son enfant, elle finit par s'endormir avec sa fille, Colleen. Aussi, comme les deux femmes de sa vie s'étaient assoupies, Monsieur Bowen pris de façon dramatique sa deuxième enfant décédée dans ses bras avant de sortir de la pièce sans faire le moindre bruit. Heureux comme jamais, Declan, encore petit, vint en courant auprès de son père qui lui fit signe de se taire un sourire effacé mais présent pour ne pas inquiéter son fils. Tous deux se dirigèrent vers la pièce qui leurs servait plus ou moins de salon afin de parler. Les yeux pétillants du petit garçon alors aurait attendrit n'importe qui. N'importe qui y compris son père. Inspirant profondément, Martins serra sa deuxième petite fille, toujours blottit dans le linge, tout contre lui comme s'il avait pu lui donner de sa propre vie pour qu'elle renaisse dans ses bras. Malheureusement tout n'est pas toujours tout rose vous l'aurez aisément compris. Posant lourdement une main sur l'épaule de son fiston qui trépignait d'impatience de voir le nouveau né, Martins lui demanda de rester fort car il le devait pour ses parents. Opinant du chef, Declan lui sourit, ce qui arracha des larmes au père très attristé.

- Papa ? Tu es heureux c'est pour ça que tu pleures? Pourquoi veux-tu que je reste fort papa?

Sentant sa gorge se serrer durement à l'instant même où son fils lui sourit et lui essuya ses larmes, Martins ne put se résoudre à annoncer l'atroce nouvelle à son fils qui était si gentille et tendre. Alors frottant affectueusement la crinière de son fils, Monsieur Bowen lui sourit et arrêta de pleurer.

- Oui c'est pour cela Declan, tu as raison. Je veux que tu reste fort car ...

- Oui Papa?

- Car tu vas devoir attendre un peu avant d'aller voir ta mère et petite soeur parce qu'elles dorment pour le moment.

- Mais Papa, je veux les voir!

- Il n'y a pas de "mais" Declan, je t'interdis de les réveiller, mais tu peux rester auprès d'elle le temps qu'elle se réveille si tu le désires.

- Oh merci papa!

Embrassant son père sur la joue avec amour, Declan lui sourit commençant déjà à détaler comme un lapin avant de faire des pas de souris et de rentrer sans bruit dans la pièce sombre. Avant de refermer la porte, Declan appela son père dans un murmure. Martins se leva un petit oui dans la voix pour répondre à son fils, alors que ce dernier envoyait un je t'aime enfantin accompagné d'un sourire en refermant difficilement la porte dû à sa petite taille. Monsieur Bowen se rassit s'autorisant quelques minutes avec sa fille, avant de se mettre à l'oeuvre. Il pleurait à chaude larme, la tête penchée vers son petit oiseau. Reprenant la petite Chelsea dans ses bras, il avait décidé de lui trouver tout de même un prénom afin de ne pas enterré véritablement une inconnu ...
Revenant les bras vides dans la pièce après un long instant, il venait tout juste de sécher ses larmes, et finit par sourire à la vue de Declan blottit contre sa maman qui elle-même resplendissait en regardant sa fille puis son mari. Meredith appela son mari, afin qu'il vienne porter sa fille dans ses bras. D'un pas faussement léger, Monsieur Bowen approcha avec un sourire fatigué aux lèvres saisissant sa merveilleuse petite fille. Mes deux petits oiseaux se ressemblaient tellement pensa Martins la larme à l'oeil, alors que sa femme attrapait sa main libre en lui posant la question qu'il redoutait à présent.

- Tu es ému?

- Oui mon amour.

Madame Bowen lui sourit, et lui affirma ne jamais l'avoir découvert si émotif.
Ce tableau qui semblait pourtant parfaitement normal, ne l'était qu'en partit. Il représentait une famille unis, la leur. La plus touchante à des kilomètres à la ronde. On pouvait y distinguer Declan, les yeux admiratifs face à sa petit soeur, Meredith, entrain de calîner et d'embrasser le dessus de la tête de son fils puis Colleen parfaitement endormit dans les bras de son père qui, pensif, fixait le magnifique rosier rouge du jardin, au pied duquel il avait creusé peu de temps avant cette instant magique.


Partie 2: Certain diront couvée, mais eux préferont dire aimer.
Alors qu'elle apprenait à marcher sous les yeux attendris de ses parents, Colleen offrait amour et joie lorsqu'elle apparaissait à la vu des gens. Une sorte de petite poupée tout juste offerte à l'une de ces familles riches qui avaient tout ce qu'elles désiraient. Mais alors que sa famille et chaque habitant du village de Colleen vivait de façon modeste, elle était considérée comme leur poupée à eux. A cette époque, l'enfant était toujours mortelle avec tout ce que cela implique pomettes rougis et peau rosé étaient de parfait adjectif pour parler de la gamine. Mais bien qu'elle fut plutôt accueillit à bras ouvert dans le village auprès des adultes qui la chérissaient autant que leurs propres gosses, les enfants, eux, n'aimaient guère devoir se soucier d'une petite qui risquait de trop rapidement se faire mal n'ayant pas eut l'habitude de faire autre chose que se balader à force d'être couvée de la sorte.
Un jour alors que la petite Colleen s'approchait d'un groupe de bambins pour venir jouer avec eux, elle s'y fit repousser par le leader, ci je peux m'exprimer ainsi pour des enfants, de la petites bandes de mioches. Elle en fut peinée de tomber ainsi à la renverse autant physiquement que mentalement, mais déjà pleine de fierté alors qu'elle n'était encore une enfant, elle se refusa de ne verser ne ceraisse qu'une larme pour l'un d'entre eux? D'accord, il ne supportait pas le fait qu'elle soit choyée mais avait-elle fait le moindre souhait pour que cela soit le cas non pas le moins du monde et pourtant, elle était rejetée. Littéralement. Alors qu'elle se redressait, elle essuya, de rage, ses mains poussiéreuse sur sa robe. C'est au même moment qu'un petit brun vint l'aborder si elle ne s'était pas blessée. Elle répondit que non, lui offrant un magnifique sourire de reconnaissance d'être venu l'aider, bien que trop tardivement, mais surtout parce que lui avait osé venir lui adresser la parole. Ils passairent ensemble une bonne partie de l'après-midi avant de, reciproquement, rejoindre leurs quartiers. Alors, toute seule dans ce qui lui servait de chambre, Colleen se remémorait le visage du petit Dawson Badley. Ses cheveux hirsute et son joli sourire. Voilà ce qu'elle avait retenu du petit sourire. Il était à peine plus grand qu'elle alors qu'elle se sentait en sécuritée à ses côtés. Secrètement, elle espérait revoir son nouvel ami le lendemain. Après tout ils avaient sympathisé n'est-ce pas ? Pas que, même petite, elle était amoureuse du petit garçon mais simplement elle avait trouvé en lui un magnifique compagnon de jeu. Puis, s'allongeant dans son lit, Colleen embrassa une dernière fois ses pensées avant de s'endormir profondément un sourire radieux ourlant ses lèvres.

Partie 3: Une disparition peu commune.
Alors qu'à vu d'oeil Colleen changeait, devenant une adolescente radieuse, pleine de joie de vivre car elle avait du bonheur à revendre, la classe social des Bowen ne cessait de gravir des échelons. Passant d'esclaves libres pauvres, période de la vie des parents de Colleen qu'elle ne connaîtrait jamais car a priori trop compliquée à attendre, à une famille de classe social moyenne ayant juste de quoi vivre à son aise dans, enfin, ce que l'on pouvait qualifiée de maison. Par la suite, et c'est ici que nous en sommes pour vous raconter l'évênement bouleversant de la vie tranquille qu'était celle des Bowen, ils furent plutôt aisés ayant même de quoi enfin séparer les enfants dans deux chambres indépendante afin que Declan et Collen est enfin un endroit plus intime à eux. Allez savoir pourquoi, Monsieur Bowen était ravie de pouvoir aggrandir sa maison pour le plus grand plaisir de sa famille mais sans jamais vouloir changer d'endroit.
Un jour que Dawson, le meilleur ami de Colleen, et elle-même revenait en riant d'un parc où ils jouaient tous deux, ils découvrirent Monsieur Bowen, Martins, assis au pied du rosier rouge, qui avait 12 ans à présent comme Colleen, et allèrent le saluer. Avec amour la jeune fille vint embrasser son père qui le lui rendit bien, tandis qu'avec un énorme sourire, Dawson vint serrer virilement la main de Martins tel un homme, un vrai, ce qui pour effet de faire sourire pauvrement le père de Colleen. Aussi, ils échangèrent tous trois des banalités du quotidien comme sur l'instruction des deux enfants, ou encore sur la météo, en passant par de petites phrases glissées dans les conversations qui avaient dont de les faire partir dans des fou-rires incontrôlables. Martins adorait ce petit blond qui était toujours aux côtés de sa fille depuis près d'une douzaine d'années mais aujourd'hui Monsieur Bowen avait du mal à rire étrangement. Il arborait un sourire mais il se limitait à cela.

- Tout va bien Monsieur? Vous semblez vraiment fatigué ..

- Oui Dawson, ne t'inquiète pas mon petit. J'ai juste du mal à m'endormir depuis quelques jours et combien de fois devrais-je encore te dire de me tutoyer Dawson?

- Au moins une de plus Monsieur comme toujours depuis des années.

Les deux petits, à mi-chemin entre l'enfance et l'adolescence, étaient singulièrement bien élevés. Pas un mot plus haut que l'autre, à toujours obéïr aux demandes de leurs parents. Martins sourit à Dawson, puis se tourna vers sa fille lui offrant un clin d'oeil suivit d'un << Ce garçon est tellement bien élevé, n'est ce pas Colleen? >> ce qui eut pour don de faire lever les yeux de la demoiselle au ciel, et de faire rire les deux hommes. Bien sûr, ils comprenaient tous trois l'énorme sous-entendu qui se cachait derrière ce genre de phrase, mais jamais aucun d'eux n'avaient décidé de le relever. C'était simplement un jeu qu'ils avaient monter au fil du temps. Jamais, au combien jamais, ils ne se choisiraient afin de finir leur vie ensemble. Ces deux petits là étaient les meilleurs amis du monde mais leur relation s'en tenait à cela. Plus d'une fois, les gens auraient pu croire qu'ils étaient amoureux mais tout le monde dans la petite bourgade savaient que ces deux là étaient simplement copain comme cochon. Redevenant sérieuse, Colleen appris à son père qu'effectivement elle avait remarqué sa fatigue depuis quelques jour mais qu'elle n'avait pas relevé, pensant que cela se réglerait sans problème.

- Si je ne pars pas tout de suite, ma mère va me gronder pour ne pas être rentré à temps pour manger chaud le repas. Aurevoir Monsieur. A demain Colleen!

- Oui à demain.

Les deux enfants arboraient tous deux un sourire en se fixant, tandis que Martins demandait à Dawson de saluer toute la famille et que s'éloignant en courant en faisant un signe de la main, le petit répondit qu'il n'y manquerait pas. Puis le petit pris le raccourcis par le champs et disparut de la vision des deux membres de la famille Bowen. C'est à ce moment là précisément que Declan, à présent agé d'une bonne vingtaine d'années, choisit de sortir de la bâtisse pour venir rejoindre son père et sa soeur.

- Où est maman ? J'ai besoin d'un conseil.

Monsieur Bowen garda le silence, ne voulant répondre. Declan insista et vint s'asseoir en tailleur auprès des membres de sa famille. Martins releva la tête lourdement, montrant par la même occasion sa tristesse perler sur ses joues. Le frère et la soeur se regardèrent, interdit. Que ce passait-il? Pourquoi la question de Declan fait-elle tellement de mal à son père?

- Les enfants votre mère a ... disparut depuis hier après-midi et cela m'inquiète énormément car cela ne lui ressemble en aucun cas.

Colleen se réfugia dans les bras de son frère, fondant en larme. Declan et son père se perdirent dans la contemplation du magnifique rosier dont les boutons ne tarderaient pas à éclorent pour offrir un vue magnifique. Eux deux, seul détenteurs du secret de la naissance de Chelsea et aussi de sa mort. Declan restait fort pour sa soeur alors qu'il était effrayé à l'idée qu'il arrive quelque chose à sa mère. Quelle ironie de devoir à nouveau rester fort alors que cette fois c'est sa mère qui court un risque.

- Colleen ma chérie, je vais t'apprendre quelque chose de dur à entendre, je veux savoir si tu es assez résistante pour entendre cette vérité.

- Declan, je t'interdis de lui en parler!

- Elle a le droit de savoir, et si c'n'est pas aujourd'hui ça sera demain! Je finirais par lui dire. Si tu ne veux pas entendre tu n'es pas obligé de rester avec nous. Colleen le jour de ta naissance ...

Sur le début des paroles de Declan, qui tenait toujours fortement sa soeur dans ses bras, Monsieur Bowen se leva faisant claquer la porte de la maison derrière lui tel un enfant en colère. Declan lui fit pars de sa naissance, du fait qu'elle avait eu une jumelle décédée à la naissance, et qu'elle avait été enterrée ici même, et que ce rosier n'était pas la par pur hasard. Colleen avait du mal à en croire ses oreilles, alors que des larmes coulaient à flot sur ses joues.

- Je veux te faire entendre par là que, si il arrive quelque chose à maman tu devras à ton tour rester forte comme je l'ais été alors que j'étais plus petit que toi.

~* * * * ~
Endormie, Declan emporta sa soeur dans la maison car il commençait à faire frais. A peine l'avait-il déposée dans le divan qu'un adulte vint frapper doucement à la porte. Martins alla ouvrir la porte découvrant, surpris, un inspecteur. Un espoir se profila sur le visage de Monsieur Bowen alors que l'expression de l'inspecteur ne présageait rien de bon à en voir la gravitée de son expression. Un peu plus loin, les enfants ne perdaient une miette de la conversation.

- Bonsoir à vous. Mes condoléances Monsieur Bowen, votre femme vient d'être retrouvée assassiné dans de très mystérieuses conditions.

Partie 4: Un bouleversement radical.
Pendant plusieurs années, Colleen resta interdite sur cette évênement, n'abordant ce sujet que s'il était vraiment nécessaire. Pourtant, en grandissant elle comprit que si ces deux accident avait dû arriver était que sans doute le destion était gravé ainsi, et que même s'ils l'avaient voulut, ils n'auraient rien put faire. Ni elle, ni son père à présent veuf et son grand frère. Dawson ainsi que d'autre personnes avait fini par redonner le sourire à la demoiselle, qui retrouva une existence à peu près normal ayant une jumelle décédée à la naissance et une mère assassinée... Un jour que Colleen, à présent devenu une vrai femme d'une vingtaine d'année dont la beauté n'avait fait que s'intensifier même si son regard était plus vide qu'autrefois et qu'elle avait perdu toute rondeur de l'enfance, sortait du travail qu'elle avait déniché dans une taverne en temps que serveuse, une homme vêtue noblement d'un costume des plus chic, pour l'époque, vint l'accoster. Colleen fit tout son possible pour qu'il croive que la jeune femme ne l'avait pas remarqué et commença à marcher lentement pour ne surtout pas paraître, le moins du monde, paniquée. Avec agillitée, elle avait l'impression de se faire poursuivre par un courant d'air tellement l'homme se déplaçait avec souplesse et rapidée. La jeune femme activa le pas, prête à courir s'il le fallait le problème étant qu'elle ne savait pas encore exactement à quoi s'attendre. Elle prit une déviation, une route adjacente, un raccourcis afin d'arriver plus rapidement chez elle. Son coeur battait comme jamais, menaçant d'exploser voir de quitter sa poitrine. Sa respiration se faisait profonde, haletante alors que ces foulées ce faisait de plus en plus espacé. A ce rythme là, elle ne tiendrait pas, elle le savait pertinement. Aussi, elle décida de se retourner afin de regarder ci la personne qui la suivait précédement était toujours là. Non, plus aucune trace de cette personne. Elle se dit alors qu'elle avait peut-être simplement eut une allucinations car il se faisait tard et qu'elle était singulièrement fatiguée. Elle récupéra son souffle, et se remit dans le sens de la marche ... tombant nez-à-nez avec deux yeux écarlâte braqués sur elle. Colleen ne sut sortir aucun son de sa gorge tellement la peur l'enlaçait. La jeune femme était figée sur place.

- Ce n'est pas particulièrement polie de s'enfuir en courant alors qu'une personne te suis pour te demander de l'aide, commença l'inconnu un sourire sadique au coin des lèvres.

- Excuse moi j'ai pensé que vous me vouliez du mal. Que me voulez vous ?

- Et bien, j'emmerais pouvoir te répondre que seul, je me suis égaré mais la seule vrai raison et que le parfum de ton sang m'attire comme personne ne l'a fait auparavant.

- Excusez moi mais je ne saisis pas. Avez vous dit l'odeur de mon sang? C'est une plaisanterie n'est ce pas? Vous n'êtes enfin vous ne pouvez ...

- Être un vampire? Mais si bien sûr! Ne me dis pas que tu ne t'es jamais doutée de leur existence Colleen je n'te croirais pas!

- Comment connaissez vous mon prénom?

- Cela fait quelque temps que je m'acharne à t'observer pour trouver la bonne manière de venir t'aborder ma jolie ...

Faire sa connaissance importait peu. Colleen n'avait qu'une idée en tête, s'enfuir. Elle savait n'avoir aucune chance, elle était humaine, perdu, et n'avait aucune chance de s'en sortir vivante. Le vampire se rapprocha d'elle en moins de temps qu'il ne faut pour le dire, dégageant avec délicatesse le cou de la demoiselle du bout des doigts, repoussant gracilement la chevelure châtain de la jeune femme. Elle était figée et sentait une larme perler sur sa joue.

- Je ne veux pas mourrir ..

- Oui je le conçois parfaitement même si seule ma pensée pour l'attirance de tes lèvres chaudes contre les miennes me permet de ne pas te vider jusqu'à la dernière goutte sur le champs.

Colleen tressaillit. Comment pouvait-il rester si passif en tenant de tel propos? Avait-il l'habitude de tuer ses victimes de cette manière? Combien de personnes avait-ils tuer avant elle?

- Quelle perte tu serais si je décidais de te tuer en quelques minutes, aussi délicieuse que tu sois. Décision, décision ...

Ce vampire était psychopathe et sanguinaire, elle n'en avait aucun doute. Elle était effrayée et sentit une deuxième larme perler sur sa joue.

- Ce n'est pas douloureux, ne pleure pas.

- Qu'en savez vous?! Une de vos victimes s'est elle réveillée d'entre les morts pour vous le dire?!

Plus qu'en colère, la jeune femme pleurait pour de bon à présent les pommettes rosies, la peur au ventre. Il jouait avec elle alors qu'elle n'avait plus qu'une dizaine de minutes à vivre tout au mieux. Le vampire se cambra dans un rire sinistre à faire se retourner les morts dans leurs tombes.

- Tu m'amuses et rien que pour ça je te laisse presque la vie sauve.

- Presque? Allez vous me laisser mourir agonisante ...

- Et bien c'est une alléchante proposition mais j'ai bien mieux que cela ...

Alors le vampire ne faisant pas durer plus longtemps le suspense, planta avec adoration ses dents dans la chair de la demoiselle qui ne retint pas cette fois ci une sorte d'hurlement de douleur. A regret, celui ci retira ses canines tenant par les épaules la jeune femme prise de spasmes douloureux.

- Ce n'est pas que j'm'ennuie avec toi ma chérie mais j'ai d'autre victime à vampiriser. Non, à simplement vider car vois tu j'ai extrêment soif!

Avec un plaisir sadique, il vint s'accroupir auprès de sa victime afin de lui offrir une dernière fois la vue de ces iris rouge sang ... Colleen sombrait dans la douleur ressentant une sensation abominable dans sa gorge comme un départ d'incendie. Une masse sombre et flou la souleva du sol et partit en courant. Ces derniers souvenirs en tant qu'humaine.

Partie 5: Meurtre du Bel Ami.
Une soif de sang incontrolée et incontrable. Rapidement, la jeune femme comprit que son frère ainsi que son l'était devenu génétiquement ou pas d'ailleurs au cours du temps et c'est aussi pour cette raison qu'ils semblaient tous deux vieillir moins vite, voir pas du tout d'ailleurs. Colleen sentait aisément que tous ses sens avaient gagner en acuïtée, mais aussi que sa gorge la faisant atrocement souffrir lorsqu'elle s'approchait de gens don le sang battait perceptiblement à tout rompre dans chaque vaisseaux de leur corps fragile en comparant avec celui de Colleen. Elle avait gagner en vitesse, voir en mémoire et au court des années avait développé une sorte de don qui lui permettait d'influencer l'esprit des gens. C'est le jour même de son 22èmz anniversaire qu'elle s'en rendit rapidement compte ....
Toute la journée c'était admirablement déroulée. Le soleil n'était pas au rendez-vous pour le plus grand plaisir de Colleen et Dawson avait eut l'autorisation de venir chez elle pour passer ensemble l'après-midi. Ce que l'on peut-être inconscient lorsque l'on est une jeune femme vampire totalement assoiffée et que l'on a un besoin de pouvoir sans précédent ... Alors qu'ils étaient seuls à se balader, coupant le champs comme à l'habitude pour arriver plus vite chez le jeune homme, ils se mirent à courirent, pariant sur le fait que tous deux pensaient gagner la course. Aussi, le jeune homme se mit à courir sans regarder si la jeune femme le suivait. Son seul objectif était de gagner la course, point barre. Une fois avoir parcourut le diamètre du champs, un sourire victorieux apparut sur le visage de Dawson alors qu'il pensait avoir encore gagner la course et s'asseyant sur un rocher, il patienta afin de voir la petite châtain débouler haletante devant lui. Alors qu'il attendait depuis quelques minutes, Colleen décida d'enfin se lever de derrière lui afin de lui faire. L'effet escompté eut le lieu et eut pour don de faire tomber le jeune homme à plat ventre se mangeant un pierre. Ils se mirent à rire tous deux, même si Dawson avait beau lui demander comment elle avait fait et qu'elle ne répondait que par des << Mystère! >>. C'est alors que la gorge de la jeune fille la brûla comme jamais et qu'elle sentit ... l'odeur du sang de Dawson qui coulait légèrement d'une égratinure qu'il s'était fait en tombant. Colleen tomba à la renverse, s'éloignant doucement alors que Dawson, ne comprenant pas la situation, se releva pour la rattraper. Les yeux de la demoiselle avaient virés aux rouges écarlates, elle le savait mais sa soif plus importante que toute autre chose la fit se relever et paupières closes.

- Colleen tout va bien ?

Alors qu'il eut à peine le temps de finir sa question que la jeune femme était déjà face à lui, léchant avec avidité la goutte de sang qui perlait. Le jeune homme en resta interdit, ne bougeant pas d'un cil. Alors la nouveau-né n'hésita pas une seconde, plantant ses canines acérés dans le cou de son meilleur ami ... Le sang lui procura un plaisir intense, une vrai explosion de sensation dans la bouche ainsi que dans la gorge. Chaque cellule de son corps, s'abreuvait de la source de vie de Dawson. Colleen en avait conscience mais impossible pour elle de se détacher de sa proie. Le jeune homme tomba alors, ne pouvant plus se soutenir, le teint blafard, les yeux grands écarquillés sur ce qu'il croyait être sa meilleure amie.

- Pourquoi tu ...

Ces mots n'étaient que des murmures pourtant la jeune fille captait dans sa voix une profonde tristesse, une sorte de trahison. Elle se pencha alors sur lui, l'accablant d'excuses, et déposant la tête du mourrant sur ses genoux. Elle entâma son poignet avec l'une de ses dents, implorant son ami de boire le liquide.

- Je ne veux pas ... Devenir un monstre comme toi.

Il ravala sa salive péniblement, alors que le flot de larme coulait le long des joues de Colleen attristée par cette remarque plus que blessante pour ce qu'elle était devenu.

- Ne parle pas, je suis désolée crois moi! Ton sang m'as totalement enivrée, je ne pouvais pas, je ne pouvais plus... Regarde moi Dawson, je t'en pris bois! C'est la seule solution!

Colleen commençait déjà à cicatriser, et accarta à nouveau la plaie afin que le sang y coule assez abondament pour qu'un humain puisse y boire.

- ... Pourtant je t'aime Colleene.

Lâchement, Colleen abandonna son ami qui venait de mourir dans ses bras, courant aussi vite que sa vue brouillée par les larmes le lui permettait. Elle venait de tout bonnement tuer son meilleur ami...

Partie 6: Revenir aux sources ... de la dépression.
Lors de son retour en Angleterre, Colleen à mûrit, beaucoup mûrit. Près d'une décennie s'écoula, avec pas le moindre changement physique de la part de Colleen, depuis le dernier accident dont la jeune femme avait toujours du mal à se remettre. La demoiselle savait que revenir dans son village était une mauvaise idée pourtant après y avoir mûrement réfléchit, et sachant son père son père dans une profonde déprime depuis l'assassinat de sa mère, la jeune femme ne put que si résoudre. Lorsqu'elle entra dans la propriété, elle sut d'instint que quelque chose n'allait pas. Tout d'abord, le rosier si somptueux en temps normal était dans un état lamentable. Rapidement elle fit le tour de la maison pour enfin découvrir son père assis sur lon lit le portrait de sa femme dans les mains. A ce qu'on avait raconté à Colleen, où qu'il aille, son père embarquait toujours le portrait de Meredith avec lui. Alors qu'elle s'assit à côté de son père afin de le prendre dans ses bras, celui ci eut un mouvement de recule comme s'il découvrait sa fille pour la première fois.

- Qui êtes vous?

- Mais enfin Papa, c'est moi Colleen, ta fille.

- Ma fille mais de qui parlez vous? Celle qui m'a abandonné ici après plus de 10 ans? Non impossible vous devez faire erreur. Sortez de chez moi, je vous pris.

- Mais Papa qu'est- ce que tu raconte? Tu ne me reconnais donc pas ?

A peine eut-elle fini de poser sa question, que l'homme la giffla avec énormément de force. Colleen en resta choquée, une goutte de sang au coin de la lèvre.

- Vous ne m'avez pas compris?! Sortez!

Sans demander son reste, Colleen décolla du matelas ne prenant même pas la peine de fermer la porte derrière elle. Elle dévala les escaliers. Elle savait qu'elle n'aurait dû venir. Son père, qui n'avait jamais posé ne serait-ce que le petit doigt sur sa fille, venait de la giffler sans aucune raison apparente. Il lui en voulait de l'avoir abandonné de la sorte mais qu'aurait-elle put faire en ce temps là? Rien sûrement. Aussi, elle sortit de la batisse, abaissant la capuche de sa veste sur sa tête à cause de la pluie. Rappelant le taxi qu'elle avait pris pour arriver, la jeune femme, qui avait préparé ses valises pour séjourner un moment chez son père se retrouvait sans toit pour vivre. La jeune fille, qui avait pendant toute sa jeunesse eut le plus angélique des sourire le perdit aussitôt. Colleen se promit de ne pas pleurer, de ne plus pleurer. La jeune femme se redressa, tête haute. Indiquant au chauffeur de s'arrêter à l'endroit qu'indiquait une pancarte prise au hasard, elle se demandait où cela la mennerais. Le chauffeur l'interrompit dans ses pensées.

- Excusez moi Madame, je vas peut-être vous offencer mais, êtes vous sûr d'aller .. à l'Académie Cross?

- Oui j'en suis certaine. Ou est le problème?

- Oh mais nulle part Madame.

- Mademoiselle.

(c) Pseudo du créateur

Prénom/Surnom : Marine/ Ma' ou Cha' selon les gens (: Age : 15 ans pour le moment Comment êtes-vous arriver sur le forum ? : Je connais trois personnes sur le fo' Ce qui vous a plu : Le thème sur les Vampires ( Design' + Contexte ) Des suggestion ? : Non aucune je débarque seulement! Avez-vous lu le règlement ? : Bien sûr quelle question! [OK by Hoshinette ♥]

Alors choupinette d'amour tout est presque parfait♥ Ton père est un humain non? Donc je ne pense pas qu'il puisse être encore vivant à 180 ans >.> tu me corriges juste la fin et je valide♥